La presse francophone belge est en déclin. Pensée Unique, conformisme, ignorance et subsides en sont les
principales mamelles. Le Soir, quotidien de référence par excellence, fera l'objet de nos observations parfois
amusées, souvent consternées, afin de livrer la chronique d'un lent suicide, celui d'une presse écrite de 'déférence'.

jeudi 29 novembre 2012

Maroun Labaki: c'est la crise, dépensons!


Maroun Labaki écrivait dans Le Soir du 24/11 que les "populistes de toutes obédiences" qui souhaitent une réduction du budget de l'UE oublient que le budget européen "est évidemment un outil idéal pour faire des économies-d'échelle". 
Comme avec la PAC (plus de 40% du budget) qui paie des agriculteurs pour mettre leurs terres en jachère ou oblige les consommateurs à surpayer leurs produits alimentaires

Maroun Labaki ne sait pas écrire correctement "économies d'échelle" mais le plus risible dans son pamphlet est qu'il qualifie de populistes les dirigeants qui souhaitent apporter un peu plus de rigueur dans la gestion prodigue des finances de l'UE. 

Isolant David Cameron dans le clan des populistes bornés, le journaliste oublie dans son papier les Pays-Bas (qui exigeaient deux fois plus d'économies que la Grande-Bretagne), l'Autriche, la Suède, le Danemark, la Finlande et l'Allemagne qui souhaitent eux aussi des coupes budgétaires.

Retour documentation, Maroun! Il n'y a pas que les Britanniques qui en ont assez de la PAC et d'Objectif 1,2, 3!...

1 commentaire:

  1. Maroun Labaki ne sait pas écrire ; je veux dire en cela qu'il ne sait pas rédiger. Quoi qu'il a pu écrire, c'est de toute façon à remettre en question, parce qu'il écrit de manière trop peu professionnelle, et n'adapte son ton à rien ni personne, à tel point que l'on se demande s'il sait qu'il parle de personnes à d'autres personnes. Son style et son ton sont nuls, manque de professionnalisme et d'intellect, ce qui est une insulte pour les représentants de la profession qui en ont. Il écrit comme parlent les chroniqueurs de l'émission On n'est pas des pigeons - et paraît dans le Soir... Si l'opinion arrive à parler d'un journaliste qui ne sait pas écrire, autant le laisser rédiger à Metro (dans une langue, pas les deux). Savoir qu'une médiocrité mérite un salaire m'a rendu malade a plusieurs reprises : sa place est au chômage et pas ailleurs. Place aux jeunes !

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